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France : Hommage à Andréa Ferréol

Le Dernier Métro

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France : Hommage à Andréa Ferréol

Le Dernier Métro

En 1942, dans le milieu théâtral parisien. Marion Steiner, comédienne, a repris la direction du théâtre Montmartre que son mari, juif allemand, a dû abandonner. Pour son premier spectacle, elle monte la pièce norvégienne que son mari devait mettre en scène. Elle demande à son ami Jean-Loup Cottins, qui a des relations avec la collaboration, d'en assurer la mise en scène et au comédien Bernard Granger, venu du Grand-Guignol, de prendre le rôle principal.
29 octobre 2011, 13:00
Corum - Salle Pasteur

Fiche Technique

PaysFrance
Année de production1980
Durée03:33
Catégorie(s)Fiction
ScénarioFrançois Truffaut, Jean-Claude Grumberg, Suzanne Schiffman
ImageNéstor Almendros
MontageMartine Barraqué
MusiqueGeorges Delerue
SonMichel Laurent
Interprète(s)Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Jean Poiret, Heinz Bennent, Andréa Ferréol, Laszlo Szabo
DécorJean-Pierre Kohut-Svelko
Version

Réalisateur

Réalisateur Truffaut François

François Truffaut

François Truffaut, né en 1932 à Paris et mort en 1984 à Neuilly-sur-Seine, est un réalisateur, scénariste, producteur et critique de cinéma français. Après une enfance marquée par l'école buissonnière et sa désertion de l'armée, sa rencontre avec André Bazin lui permet d'intégrer la rédaction des Cahiers du cinéma. Il réalise les courts métrages Une Visite (1954) et Les Mistons (1957) et son premier film, Les Quatre cents coups (1959), participe à l ‘émergence de la Nouvelle Vague et ouvre le cycle Antoine Doinel qui fait la réputation du cinéaste : L'Amour à vingt ans (1962), Baisers volés (1968), Domicile conjugal (1970), L'Amour en fuite (1978). Cinéaste de la sensibilité, ses films, regards émouvants sur l'enfance comme L'Enfant sauvage (1970) ou L'Argent de poche (1976) sont souvent teintés d'autobiographique. Du polar (Tirez sur le pianiste, 1960) au film noir (La mariée était en noir, 1968 ; La Sirène du Mississipi, 1970) en passant par la science-fiction (Farenheit 451, 1966), il alterne les genres avec aussi bien des sujets originaux que des adaptations littéraires (Jules et Jim, 1961). Qu'il évoque le deuil dans La Chambre verte (1978) ou décrive les mécanisme de la passion avec Les Deux Anglaises et le continent (1971) ou L'Histoire d'Adèle H. (1975), son œuvre est marquée par sa passion pour les actrices (L'Homme qui aimait les femmes, 1977) et le cinéma (La Nuit américaine, 1973). Ses derniers films, Le Dernier Métro (1980), La Femme d'à côté (1981) et Vivement dimanche (1982) sont conçus par le cinéaste comme des " actes d'amour " pour ses acteurs. Mondialement célébrée, notamment aux États-Unis, son œuvre fait l'objet d'un véritable culte. Parmi ses écrits abondants sur le cinéma, il publie un livre d'interviews avec Alfred Hitchcock en 1966, qui fait référence.