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Espagne : hommage à Ventura Pons et Catalan Films

Seconde chance

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Espagne : hommage à Ventura Pons et Catalan Films

Seconde chance

1- Mourir : sept histoires indépendantes qui se finissent par la mort de l'un des protagonistes : Un réalisateur qui cherche à fuir son absence de créativité. Un héroïnomane qui ne peut pas résister à la tentation de la drogue. Une petite fille qui s'étouffe avec un os de poulet. Un malade à l'hôpital qui ne parvient pas à atteindre le bouton d'alarme. Une femme hystérique qui ingurgite des tranquillisants avec de l'alcool. Un jeune motocycliste qui se fait renverser par une voiture de police. Un cadre victime d'un tueur à gages. 2- Ne pas mourir : les sept histoires sont liées entre elles dans un ton plein d'humour et un enchaînement logique : aucun personnage ne meurt et tous se connaissent. Seconde chance du destin ou prérégrinations mentales d'un réalisateur à la recherche d'une bonne idée pour son prochain film ?
24 octobre 2011, 10:00
Corum - Salle Pasteur

Fiche Technique

PaysEspagne
Année de production2000
Durée02:12
Catégorie(s)Fiction
ScénarioVentura Pons d'après la pièce de Sergi Belbel
ImageJesús Escosa
MontagePere Abadal
MusiqueCarles Cases
SonBoris Zapata
Interprète(s)Carmen Elias, Lluís Homar, Roger Coma, Marc Martínez, Anna Azcona, Sergi López
Production
DécorBello Torras
Version

Réalisateur

Réalisateur Pons Ventura

Ventura Pons

Né en 1945 à Barcelone. Après dix ans comme metteur en scène de théâtre, V. Pons réalise son premier film en 1977, Ocaña portrait intermittent, qui lui vaut d'être découvert et est sélectionné par le festival de Cannes en 1978. Avec seize longs métrages, dont quatorze ont été produits par sa propre société Els Films de la Rambla, S.A., fondée en 1985, il est devenu l'un des réalisateurs catalans les plus connus. Ses films ont été présentés et primés dans de nombreux festivals. On peut citer Puta miseria ! (1989), El perqué de tot plegat (1994), Amic/Amat (1998), Morir (o no) (1999), Anita no pierde el tren (2000), Manjar de amor (2002), El Gran gato (2002), Amor idiota (2004) sélectionné par la Berlinale 2005 et Animaux blessés (2004). Après La Vie abyssale (2006), il réalise Forasters (2008) et A la deriva (2009). Le festival de Montpellier lui a rendu hommage en 2011.