Au chômage après avoir été renvoyé de la pièce qu'il répétait à Paris et en froid avec sa compagne Françoise, Christian se réfugie dans les Corbières chez son amie Nathalie. Celle-ci est tombée amoureuse d'Hippolyte, qui les rejoint entre deux voyages d'affaires. Son arrivée provoque des tensions, si bien que Christian s'installe à la Campagne de Cicéron, la propriété de son ami Hermance. Sur place, il constate que Françoise a également été conviée…
Avant-première, copie neuve.
Fiche Technique
Pays | France |
Année de production | 1989 |
Durée | 02:27 |
Catégorie(s) | Fiction |
Scénario | Jacques Davila, Michel Hairet, Gérard Frot-Coutaz |
Image | Jean-Bernard Menoud |
Montage | Christiane Lack |
Musique | Bruno Coulais |
Son | Yves Zlotnicka |
Interprète(s) | Tonie Marshall, Michel Gautier, Sabine Haudepin, Jacques Bonnaffé, Judith Magre |
Production | |
Décor | Jean-Jacques Gernolle |
Version |
Réalisateur
Jacques Davila
Né en 1941 à Oran (Algérie), Jacques Davila aborde le cinéma par le biais de la télévision. Il est en effet pendant trois ans (1969-1972) assistant de Janine Bazin et André S. Labarthe sur des émissions comme Cinéastes de notre temps ou sur les Archives du XXe siècle. Puis il réalise deux films courts consacrés à deux peintres : Bonnard et Ingres avant une collaboration pour certaines séquences de Dim Dam Dom. Ses premières mises en scène sont d'abord théâtrales au milieu des années soixante-dix. En 1976, il réalise Certaines nouvelles qui ne sera montré, pour des raisons financières, qu'en 1979 et pour lequel il recevra le Prix Jean-Vigo. Occupant une place à part dans la « bande à Vecchiali », Jacques Davila participe à l'aventure collective d'Archipel des amours et coscénarise les films de Gérard Frot-Coutaz, Beau temps mais orageux en fin de journée et Après après-demain. Deux autres films suivront avant qu'une mort prématurée n'interrompe sa carrière le 14 octobre 1991 : Qui trop embrasse (1986) et La Campagne de Cicéron (1989).