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Cinéma d'animation/Animated films

Les Aventures de Pinocchio

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Les Aventures de Pinocchio

Gepetto est un menuisier toscan sans le sou. Afin de combler sa solitude, il décide de se fabriquer un pantin de bois, qu’il prénomme Pinocchio. Son ouvrage terminé, pour oublier la faim qui le tenaille, il va se coucher. Dans la nuit glaciale, la fée Turquoise anime la marionnette qui se comporte dès lors comme un petit garçon de chair et de sang, à la grande joie de Gepetto, qui a toujours rêvé d’avoir un fils. Mais Pinocchio se révèle être turbulent. Il fait l’école buissonnière et disparaît bientôt avec un directeur de cirque et son théâtre ambulant de marionnettes. Désespéré, le pauvre Gepetto se lance à sa recherche. Commencent alors des aventures rocambolesques…{cr}{cr}
26 octobre 2005, 14:00
Corum - Opéra Berlioz

Fiche Technique

PaysFrance/Italie/Allemagne
Année de production1972
Durée02:15
Catégorie(s)Fiction
ScénarioSuso Cecchi d'Amico, Luigi Comencini d'après Les Aventures de Pinocchio de Carlo Collodi
ImageArmando Nannuzzi
MontageNino Baragli
MusiqueFlorenzo Carpi
Son
Interprète(s)Nino Manfredi, Andrea Balestri, Gina Lollobrigida, Franco Franchi
DécorPiero Gherardi
VersionVOSTF

Réalisateur

Réalisateur Comencini Luigi

Luigi Comencini

Né à Saló en 1916. Il étudie l'architecture au Politecnico de Milan et se lie d'amitié avec Alberto Lattuada. Tous deux font de la critique cinématographique puis, avec Mario Ferrari, créent un organisme de conservation des films : la Cineteca Mario Ferrari qui devient la Cineteca italiana. Il réalise un court métrage en 1937 (La novelleta), fait un peu d'assistanat, interrompu par la guerre. En 1946, il signe le documentaire Bambini in citta. Proibito rubare, son premier long métrage, en 1948, est aussi consacré à l'enfance, thème qui court tout au long de sa filmographie (L'Incompris, Pinocchio, Eugenio, Un enfant de Calabre). Si ses premiers films constituent de l'honnête cinéma commercial, Comencini s'affirme dans la comédie mi-rose, mi-noire avec L'Argent de la vieille (1972), comédie qu'il sait pimenter d'un aimable érotisme (Mon Dieu, comment suis-je tombée si bas ?) sans exclure la critique sociale (Le Grand Embouteillage). Il est mort en 2007 à Rome.