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Stage classes L Anthony Mann / Lycée classes (A. Mann)

L'Homme de la plaine

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Stage classes L Anthony Mann / Lycée classes (A. Mann)

L'Homme de la plaine

Sur le territoire apache, le capitaine Will Lockhart recherche un trafiquant d'armes qui livre des carabines aux Indiens leur permettant des raids meurtriers dont le frère de Will a été l'une des victimes. L'officier s'oppose à un puissant rancher mais, avec l'aide de la propriétaire d'un comptoir, il s'efforce de démasquer le traître.
23 octobre 2004, 18:00
Centre Rabelais

Projection unique.

Fiche Technique

PaysÉtats-Unis
Année de production1955
Durée02:24
Catégorie(s)Fiction
ScénarioPhilip Yordan et Frank Burt, d'après
un récit de Thomas T. Flynn
ImageCharles Lang
MontageWilliam Lyon
Musique
Son
Interprète(s)James Stewart, Arthur Kennedy, Donald Crisp, Cathy O'Donnell, Alex Nicol, Jack Elam
Production
Décor
VersionDéfaut

Réalisateur

Réalisateur Mann Anthony

Anthony Mann

Né Emil Anton Bundmann à San Diego, Californie, en 1906, Anthony Mann a débuté comme décorateur, acteur et metteur en scène de pièces à Broadway. Appelé à Hollywood, il réalise ses premiers films à partir de 1942 après avoir été assistant metteur en scène (notamment de Preston Sturges sur Les Voyages de Sullivan). Il s’illustre rapidement dans des thrillers d’une grande maîtrise et d’une grande sensibilité dramatique. A partir de 1950, il va réaliser une série de westerns qui représentent « ce que le genre a donné de plus parfait et de plus pur ». Winchester 73 (1950), Les Affameurs (1952), L’Appât (1953), L’Homme de la plaine, La Charge des Tuniques bleues (1955), par leur ton tragique, leur reprise des grandes légendes, leur art sobre et mesuré, leur intérêt pour des personnages nobles mais humains souvent soumis à de terribles épreuves, resteront dans l’histoire du cinéma. Au début des années soixante il participe aux superproductions hollywoodiennes avec moins de bonheur (Le Cid, 1961 ; La Chute de l’empire romain, 1964). Il meurt à Berlin en 1967 durant le tournage de Maldonne pour un espion, laissant derrière lui une œuvre d’une quarantaine de films qui, selon Tavernier et Coursodon, « mérite quelques pélerinages ».