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Hommage à Marco Bellocchio / Tribute to M. Bellocchio

Le Sourire de ma mère

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Hommage à Marco Bellocchio / Tribute to M. Bellocchio

Le Sourire de ma mère

Ernesto, peintre et illustrateur de contes pour enfants, vit séparé de sa femme et a un petit garçon auquel il est très attaché. Un jour, il apprend par le mystérieux Don Pugni (secrétaire d'un non moins énigmatique Cardinal Piumini) que l'on veut faire de sa mère une sainte. Il est stupéfait par cette nouvelle en opposition totale avec sa personnalité d'artiste libre et athée. En quelques heures, sa famille qui voudrait le contraindre à participer au processus de béatification, multiplie les pressions. Les conflits ne tardent pas à exploser. C'est en se souvenant de sa mère et de son sourire qu'Ernesto entreprend une révision de son passé...
31 octobre 2004, 11:00
Corum - Salle Einstein

Fiche Technique

PaysItalie
Année de production2002
Durée02:22
Catégorie(s)Fiction
ScénarioMarco Bellocchio
ImagePasquale Mari
MontageFrancesca Calvelli
MusiqueRiccardo Giagni
SonMaurizio Argentieri
Interprète(s)Sergio Castellitto, Jacqueline Lustig, Chiara Conti, Gigio Alberti, Alberto Mondini, Gianfelice Imparato, Piera Degli Esposti, Toni Bertorelli
Production
DécorMarco Dentici
Version

Réalisateur

Réalisateur Bellocchio Marco

Marco Bellocchio

Marco Bellocchio naît à Piacenza en 1939. En 1959, il interrompt ses études de philosophie à l’université catholique de Milan et s’inscrit au Centre Expérimental de Cinématographie, à Rome. Entre 1961 et 1962, il réalise les courts-métrages Abbasso lo zio, La colpa e la pena et Ginepro fatto uomo et part s’installer à Londres où il fréquente la Slade School of Fine Arts. Son premier long-métrage, Les Poings dans les poches, primé à Locarno en 1965, lui offre une reconnaissance internationale. En 2011, il reçoit le Lion d’Or pour l’ensemble de sa carrière au Festival international du film de Venise. Il a fait l’objet de dizaines de rétrospectives à travers le monde, dont celle du Moma de New York en 2014 pour ses 50 ans de carrière. Il est, depuis 2014, président de la cinémathèque de Bologne. En 2016, son film Fais de beaux rêves est en ouverture de la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes. Avec Le Traître, présent en compétition officielle à Cannes en 2019, il remporte six David di Donatello et sept Nastri d’Argento. En 2021, il présente à Cannes, hors compétition, le documentaire Marx peut attendre et la même année, il reçoit la Palme d’honneur. En 2022, il est de retour à Cannes avec la mini-série Esterno notte, récompensée par quatre prix David di Donatello, l’équivalent des César italiens. L'enlèvement est présenté en compétition officielle du Festival de Cannes 2023.