Les Hirondelles ne meurent pas à Jérusalem
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Un journaliste de la télévision française débarque à Jérusalem peu après les accords d'Oslo. Ses contacts avec les parties en conflit se font par deux personnes : sa maîtresse, psychologue israélienne, dont le père est un survivant du Génocide, et Hammoudi, son guide palestinien, dit « Radio Locale », fils d'une famille de réfugiés de Gaza. Un jour, le père d'Hammoudi découvre dans un quotidien local une photo de la grand-mère d'Hammoudi, perdue de vue depuis longtemps. Le journaliste décide alors que la recherche de cette femme sera le fil conducteur de son reportage. En même temps, il fait la connaissance du reste de la famille d'Hammoudi : sa sœur, d'éducation occidentale, et son mari tyrannique, sympathisant du Hamas.
29 octobre 1995, 14:00
Corum - Salle Einstein
Fiche Technique
| Pays : | Tunisie/France |
|---|---|
| Année de production : | 1994 |
| Durée : | |
| Catégorie(s) : | Fiction |
| Scénario : | Ridha Behi |
| Image : | Theo Van de Sande |
| Montage : | |
| Musique : | |
| Son : | |
| Interprète(s) : | Selim Dhaou, Jacques Perrin, Ben Gazzara, Tim Turkhi, Youssef Aiani, Laurence Massliah |
| Décor : | |
| Version : |
Réalisateur
Behi Ridha
Producteur et réalisateur né en 1947 à Kairouan (Tunisie). Après des études de lettres et de sciences sociales, il fréquente les ciné-clubs et devient assistant à la télévision tunisienne et scénariste. Il collabore au premier film d'A. Khechine, Sous la pluie d’automne (1970) puis réalise Seuils interdits (CM-1972). Il finance et dirige Soleil des hyènes (1977), son premier long métrage. Après dix documentaires tournés dans les états du Golfe entre 1980 et 1983, il signe un second film, Les Anges (1984). Suivent Champagne amer (1988) avec J. Christie et B. Gazzara, Les Hirondelles ne meurent pas à Jérusalem (1994), La Boîte magique (2002).