4 films Cinemed à l'affiche ce 6 novembre !
05/11/2024
Le 46e Cinemed s'est terminé le 26 octobre dernier mais se poursuit dans les salles de cinéma dans les mois à venir.
Dès ce 6 novembre, c'est pas moins de 4 films programmés en avant-première en présence de leurs réalisateurs qui sortent en salles.
4 films aux registres très différents qui révèlent la diversité et la pluralité de la programmation du Cinemed.
L'Affaire Nevenka de Icíar Bollaín (Espagne/Italie, 2024, 1h50, VOSTF). Avec Mireia Oriol, Urko Olazabal
À la fin des années 90, Nevenka Fernández, est élue à 25 ans conseillère municipale auprès du maire de Ponferrada, le charismatique et populaire Ismael Alvarez. C’est le début d’une descente aux enfers pour Nevenka, manipulée et harcelée pendant des mois par le maire. Pour s’en sortir, elle décide de dénoncer ses agissements et lui intente un procès.
Louise Violet de Éric Besnard (France, 2024, 1h48, VOFR). Avec Alexandra Lamy, Grégory Gadebois, Jérôme Kircher
En 1889 dans le sillage de l’institutrice Louise Violet. Envoyée dans un village de la campagne française, elle doit imposer l’école de la République gratuite, obligatoire et laïque. Une mission qui ne la rend populaire ni auprès des enfants ni auprès des parents…
À toute allure de Lucas Bernard (France, 2024, 1h26, VOFR). Avec Pio Marmaï, Eye Haïdara, José Garcia
Elle est officier de sous-marin tactique. Il est steward. Ils se rencontrent lors d’une escale. Mais leur aventure naissante doit subitement s’interrompre. Et le voilà qui s’accroche ! Qui la suit ! Qui la colle ! Comme si on avait le temps d’être amoureuse à bord d’un bâtiment militaire ! Reste que l’océan Pacifique n’est pas assez grand pour le décourager.
Voyage à Gaza de Piero Usberti (France/Italie, 2024, 1h07, VOSTF). Documentaire
Assemblé à partir d’images anciennes juste avant les attentats perpétrés par le Hamas le 7 octobre et les attaques menées en retour par l’armée israélienne, le récit de Piero Usberti ne se prétend pas neutre : les rencontres du cinéaste avec les Gazaouis informent nécessairement sa vision. « À Gaza, il faut arriver le soir au printemps, s’enfermer dans sa chambre et écouter les sons qui entrent par les fenêtres ouvertes... Nous sommes en 2018. J’ai 25 ans et je suis un voyageur étranger. Je rencontre de jeunes palestiniens de mon âge. » Piero Usberti